Les oiseaux chantent, une brise légère caresse ton corps dénudé, au loin on entend les vagues qui se casse sur le sable fin. un sourire sur tes lèvres, tu ouvres les yeux sur cette journée et … mais attends … t'es où là ? et puis la meuf à côté de toi c'est qui? hé mais … il s'est passé quoi hier soir braddah?

Pfff, Beezy ! Il fait déjà si chaud que tu as déjà les couilles qui collent aux draps. Mais, qui a éteint la clim' ? C'est vraiment la première chose qui te vient. Alors, que la babedelicious qui s'éveille à tes cotées t'offre son plus beau sourire tout en remontant ses doigts entre les valons de tes abdominaux parfaitement dessinés. Elle a encore faim, mais toi tout ce que tu veux c'est prendre une douche. Ce que tu vas faire, pour après siroter un bon café sur son balcon. Tu entends ton téléphone en fond sonore, cependant tu préfères te laisser porter par le bruit des vagues. Tu pourrais presque devenir poète l'espace d'un instant, le regard rivé vers l'océan, l'esprit qui se perd comme l'écume qui vient lécher le sable. Tu pourrais remercier pour ce que tu as et pour lequel tu n'as jamais vraiment travaillé de ta vie. Non, toi, tu n'es pas un merv' ! Tu préfères claquer le petit cul à tes cotées et lui demander gentiment de te repasser tes affaires. Sincèrement, elle croit quoi celle-là ? Que tu vas sortir de son appartement minable comme ça ? Tu as dû trop la baiser la nuit dernière car cette cunt a perdue quelques neurones au passage entre les draps souillés. "Non, je crois pas que je vais te laisser mon numéro." Voilà, tu as pensé que cela serait simple et tu es bloqué sur son pallier à écouter ses propos sur ses règles ou un truc du genre. Toi, tout ce que tu penses, c'est si tu as bien mis une capote. Oh, my god ! Tu commences à flipper. Tu inventes rapidement une excuse de bogus pour rentrer un instant. "J'ai pas oublié mes lunettes de soleil ?" Tu fais semblant de les chercher sur sa table de nuit. Ouf ! Tu viens de voir la capote dans la poubelle. Tu peux enfin respirer et surtout prendre la porte. Des babedelicious comme elles, tu en trouves dix à la douzaine. Tu caresses ta barbe tout en chassant la goutte de sueur sur ta tempe. Tu promets de ne plus boire autant. Pas mal de promesses que tu ne tiendras pas. Une virée dans la voiture de sport de beau-papa va te calmer. Les cheveux dans le vent, la vitesse comme échappatoire de cette belle vie dorée que tu aimes tant. En parlant, de ton beau-père, tu as vingt-six appels en absence de sa part. Pas la peine de les écouter, tu sais déjà ce qu'il doit dire. Tu n'es qu'un petit branleur qu'il adorait castrer de ses mains s'il ne tringlait pas ta mère. Un salopard comme lui, ça à un cœur, cela te surprendra toujours. En attendant, tu le rappelles avant qu'il envoie ses gorilles te faire un toucher rectal juste pour t'apprendre la vie. Étrangement, être vierge de l'anus reste ta principale priorité. "Ouai' !Ouai', j'arrive." Une fois sur place, ta mère est là et vient te faire la bise, sans oublier de mettre sa saleté de rouge à lèvre sur ta gueule qu'elle s'empresse aussitôt d'essuyer du bout de ses doigts. Elle peut s'empêcher de te toucher et de trouver que tu te nourries pas assez. Tu avais envie de lui balancer que tu as bouffé de la chatte hier soir et que ça va de ce côté là. Mais, même si c'est honteux, tu aimes bien être un fils à maman. C'est même surement grâce à ça que tu es encore vivant. Ta mère supporterait pas un instant que ton beau-père lève la main sur toi. Alors,tu en joues. Tu te pavanes. Tu fais le fier tout en passant une main dans tes cheveux. Cependant, tu sais très bien comment cela se passe quand ta mère va faire sa dixième séance de botox en ville. Ton beau-père t'attrape, t'écrase la gueule contre un mur et t'écrase les bourses d'une main de fer. "Tu vas arrêter de mettre ta queue tout partout, petit enculé. Je veux pas de petits bâtards à nourrir. Tu entends ?" Je crois que tu as compris car tu hoches la tête comme une gamine apeuré. Bon, maintenant il va te falloir de la glace pour tes baloches. Tu douilles. Le salopard !