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 I HATE UR FUCKING FACE (DEREK)

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REBECA GREENE
MEACULPALM
PSEUDO : IKYREL
DATE D'ARRIVÉE : 06/10/2013
MESSAGES : 24
AVATAR : GEMMA
CRÉDITS : KIDD
ÂGE : DIX HUIT ANS
DANS MON BIRKIN : UN LIPSTICK, DU MASCARA, UN MIROIR DE POCHE POUR POUVOIR TE REGARDER DOUZE FOIS DANS L'HEURE, UN IPHONE DERNIER CRI, UN PORTFEUILLE AVEC TOUT TON ARGENT, DES LUNETTES DE SOLEIL CHANEL POUR POUVOIR TE LA PÉTER DEVANT TOUTES TES COPINES.
REBECA GREENE

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MessageSujet: I HATE UR FUCKING FACE (DEREK)   I HATE UR FUCKING FACE (DEREK) EmptySam 12 Oct - 10:45

Ce soir, encore comme tous les week-end tu es au Mansion, tu côtoies la jeunesse dorée de Laguna Beach sans jamais te lasser. Un verre d’alcool à la main, tu ne sais pas quelle heure il est, tu es dans un drôle d’état, euphorique, les paupières un peu lourdes. Mais tu te sens bien. Tu portes une robe noire qui t’arrive à peine en dessous des fesses, le tissu étant presque transparent par endroit. Perchée sur des talons immenses, tu te meus dans cette foule riche, la tête haute, plus fière que jamais. On te regarde, tu remarques rapidement les jalouses qui ont tout à t’envier. À ces filles-là, tu leur envoies un sourire éclatant d’hypocrisie. Tu flirtes avec des garçons et des filles que tu ne connais pas, peu importe. Tu fais tout pour ne pas de fondre dans la masse. Tu veux être meilleure que tous ces idiots-là, qui rampent à tes pieds. Toi tu aspires à survoler cette foule. Tu bois une gorgée de plus, te délectant de la chaleur qui stagne dans ton corps. Tu vas finalement t’asseoir, un peu à l’écart, la tête te tourne. Tes yeux éclatés se promènent sur l’assemblée, tu crois reconnaître un visage, une silhouette que tu connais que trop bien. Tu pousses un soupir et tes mains aux ongles vernis viennent soutenir ta tête fiévreuse. Tu te relèves finalement. Tu ne sais pas si tu dois te planquer dans la foule ou bien aller parler à cette tête de con. Tes jambes avancent toutes seules vers lui (tu n’as pas oublié l’attraction qu’il exerce sur toi et ça te dérange vraiment). Tu voudrais courir dans l’autre sens mais non tes pas te guident vers lui. Tu finis par l’aborder nonchalamment. ‘Bah alors, on traîne pas sa copine en soirée à ce que je vois ?’ Le ton de ta voix se veut piquant, tu n’as pas envie d’être agréable avec lui. Tes yeux se plantent dans les siens, même si tu sais qu’il est capable de te faire baisser le regard en deux secondes même pas. Intérieurement tu te marres en pensant à la fille qui lui sert de petite-amie mais qui en réalité est là seulement pour faire bonne figure. Combien de fois as-tu vu Derek avec une autre fille ? Tu ne comptes même plus. C’est pour ça que toi tu t’es jamais calée avec personne, tu sais que tu seras jamais seule, tu préfères passer de l’un à l’autre et tu te fous royalement des rumeurs et des mots qui fusent sur toi comme mille couteaux. Ta fierté est imparable, rien ne t’atteint, rien ne te touche.
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DEREK PALMER
MEACULPALM
PSEUDO : aquababe (elisa)
DATE D'ARRIVÉE : 19/06/2013
MESSAGES : 309
AVATAR : ninitte.
CRÉDITS : aquabébé.
ÂGE : 21 ans.
DANS MON BIRKIN :
un paquet de camel black, un dupont, un porte-feuille prada en cuir bleu roi avec à l'intérieur une american express centurion, des cartes de fidélité inutiles, quelques coupures de $100 et une photo d'une ex à poil qu'il avait doigté en regardant fight club.

DEREK PALMER
hasta la vista

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MessageSujet: Re: I HATE UR FUCKING FACE (DEREK)   I HATE UR FUCKING FACE (DEREK) EmptySam 12 Oct - 11:10

vanilla gurl

il est 2h du mat, mathusalem de Belvedere et jeroboam de Dom Pérignon et de Jack ont pris d'assault l'énorme table de bois flotté, personne n'est encore réellement alcoolisé, tout le monde se préserve pour le moment où son flybabe viendrait à chafouiner avec vous et qu'on se laisserait tenter par une escapade chimérique dans un des bungalows de bord de mer. le Mansion prend ce soir des allures de Country Club 2.0, les mêmes mecs ceinturés d'Hermès et les mêmes pétasses en Manolo se pavanent sourire coké jusqu'aux oreilles à travers les tables de la boîte pour montrer qu'ici, ils connaissent tout le monde. tu les trouves insupportables et pourtant, tu es quasi-identiques à eux. toi, avec tes cheveux gommés façon Alec Baldwin, ta dégaine RalphLau, Dsquared, DinVanh, Cartier, couture de mort, ton étoile de David dorée autour du cou, ce même sourire qui fait ressortir tes fossettes d'enfant qui a grandi trop tôt. Derek Palmer, la pseudo-réussite 2.0.
mack n'est pas là ce soir, enfin elle n'est plus là. cette connasse, mais alors elle est vraiment conne celle-là quand elle s'y met. il devait être 1h, vous veniez à peine d'arriver et elle a commencé à te gonfler avec la nouvelle maladie de son cleps, elle t'en a parlé parlé parlé et malgré tes acquiescements contrits qui montraient dans le fond que tu t'en battais les couilles, elle a continué de parler parler parler. alors tu lui as dit "bébé bébé. ta-gueule" elle t'a dit d'aller te faire foutre, qu'elle en avait marre de ton caractère de merde et d'être "considérée comme une pute" parce que selon elle, tu es gentil avec elle seulement quand tu veux la baiser. et elle s'était barré. cette connasse. qu'est-ce qu'elle t'énerve cette fille. mais bon, ce soir elle est absente, alors ce soir tu seras un renégat. à chaque fois que la chatte n'est pas là, les souris pètent les plombs. de tout façon.
jordane est déjà foncedé. depuis 30 minutes, il commande bouteilles sur bouteilles sachant que la moitié déjà présentes sur la table ne sont même pas ouvertes pour impressionner des vieilles zouz à 30 balles la pipe. ce mec t'impressionnera toujours. tu finis ton verre de sky, t'en ressers un autre, cales une clope au coin de tes lèvres et sans réel objectif en dehors de celui d'exposer ta carcasse façon Abercrombie, tu te lèves et tu barraudes entre tous les beds du club avec tes grandes enjambées Napoléon, fier d'être qui tu es, tellement fier d'être Derek Palmer. sur ton chemin, tu vois des filles (qui en temps normal devraient se contenter d'une soirée pyjama devant 90210) te dévorer du regard, mordage de lèvre, yeux de biche et tutti quanti. tu leur hausses les sourcils avec un sourire en coin pour que demain, sur twitter elle puisse balancer "le moment où IL m'a regardé, j'ai failli mou-rir." tu claques une bise très française à une certaine Constance qui serait mannequin chez Elite ou Ford, tu ne sais plus très bien. pourquoi tu lui fais la bise? tu ne sais pas, c'est comme ça ici. tout le monde fait semblant de se connaitre parce que c'est hype. tu t'apprêtes à aller parler à Tomas qui te fait des signes depuis tout à l'heure, quand quelqu'un attrape ton bras. tu te retournes. c'est Rebeca. Rebeca. la belle Rebeca. petite proie traquée, forcée, cajolée puis bafouée. excellente poupée qu'on brisa un soir sous la lune qui grimaçait. elle semble bien alcoolisée. sa robe est trop courte. ses yeux divergent. ses faux cils papillonnent. ses ongles cliquettent sur le verre qu'elle a dans les mains. mais elle est toujours bandante. plus bandante que la plus bandante de toutes tes copines. une vraie frappe. et c'est non sans fierté que tu te permets de dire que c'est TOI qui as fait d'elle une femme. bah alors, on traîne pas sa copine en soirée à ce que je vois? tu la regardes dans le blanc des yeux quelques instants avant de lui répondre. elle est déjà partie. tu pinces les lèvres. tu me demandes ça pour savoir si tu peux me chiner en toute sécurité? tu rigoles. fort. exprès. elle lève les yeux au ciel. c'est bon je rigole, pleure pas bébé. tu bois une gorgée de ton verre. danse avec moi. tu lui attrapes le bras et veux l'entrainer un peu à l'écart des tables, au milieu des gens qui dansent, qui s'amusent, qui s'évertuent, qui s'embrassent, qui vivent. mais cette pétasse se défait de ton emprise.  
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REBECA GREENE
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MessageSujet: Re: I HATE UR FUCKING FACE (DEREK)   I HATE UR FUCKING FACE (DEREK) EmptySam 12 Oct - 18:31

T’écoutes ce qu’il te dit avec lassitude et tes yeux se lèvent au ciel. Il t’agace déjà. T’aimerais lui jeter le contenu de ton verre à la tête. Il se marre. Son rire t’insupporte, il résonne trop fort à tes oreilles, il fait presque mal à tes tympans qui pulsent déjà à cause de la fatigue, de tout, et de lui. ‘Danse avec moi’. Déjà tu recules d’un pas, farouche. Il te donne un ordre et ça fait monter l’énervement d’un cran supplémentaire. Il attrape ton bras, t’entraîne vers cette masse de corps qui se déhanchent et qui s’amusent dans la lumière tamisée, tous un peu euphoriques, tous pareils, tous fatigués, tous malheureux mais riches. Tu te dégages vivement, le poussant loin de toi. Tu sais que sa colère peut éclater d’un moment à l’autre. Tu trouverais ça drôle de déclencher un orage dans l’esprit fatigué de Derek. ‘Dégage’, tu dis finalement. Tu fronces les sourcils, puis un sourire amusé vient éclairer ton visage trop poudré. Ce soir tu aimerais mener la danse, tu aimerais le prendre par les mains et le mener là où tu veux, en bateau, par le bout du nez, lui promettre ce qu’il veut, te faire désirer. Tu connais ses intentions, elles sont tellement évidentes. Elles se lisent à l’étincelle sauvage qui s’agite dans sa pupille. Au final tu te rapproches de lui, sans le quitter des yeux. Tu veux l’affronter. Derek. Ce prénom il te reste en travers de la gorge, comme une pilule qui arrive pas à descendre même avec une bonne rasade de n’importe quoi. Il te fait tousser, cracher, te donne la gerbe, parfois. Mais son putain de visage, et ses épaules, et le bas de son dos. Tous ceux-là tu les as vu de (trop) près, t’as même dû laisser la marque de tes dents sur sa clavicule ou encore la trace brûlante de tes lèvres sur son ventre, sur sa bouche. Tu te souviens très bien, tes mains fourrageaient dans ses cheveux en bataille pendant qu’il s’évertuait à te déshabiller. Vous étiez à bout de souffle dans la fraîcheur nocturne. Quelle belle enflure ce type. Finalement tu passes tes mains autour de son cou, et tu te colles à lui, ton corps se déhanchant contre lui. Ton sourire dévoile tes dents immaculées et tes yeux ne quittent pas les siens. Vous tournez dans la foule, on s’écarte sur votre passage. Oh oui, Rebeca, ne t’inquiètes pas, vous êtes beaux. Vous les faites baver, regarde comme il vous envie. Lui et sa nonchalance qui suinte de classe, toi, suspendue à son cou. Tu te décolles tout doucement de lui, tâchant de te souvenir de la forme de ses muscles. Tes mains lâchent son cou que tu as serré un peu trop fort, si bien que la trace de tes ongles y est probablement inscrite, comme un tatouage éphémère qui voudrait dire ‘je suis passée par là’. Tu passes une main parfaite dans tes cheveux. ‘Satisfait ?’ tu demandes finalement. Tu tires un peu sur le bas de ta robe, qui a un peu remonté pendant que remuais tes courbes inexistantes contre Derek. Ton verre t’as dû le lâcher quelque part parce que y a plus rien dans tes mains que l’odeur de l’abruti qui est face à toi. Un sourire sans défaut demeure sur ta bouche. Tu te détournes, quitte la foule qui se meut sans arrêt. Tu t’assois sur l’un des canapé, tes jambes parfaites croisées, les yeux toujours posés sur le garçon. Tu es pratiquement sûre qu’il va te suivre. Tu tapotes la place à côté de toi de tes ongles manucurés, invitation discrète que tu lui lances.
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DEREK PALMER
MEACULPALM
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MessageSujet: Re: I HATE UR FUCKING FACE (DEREK)   I HATE UR FUCKING FACE (DEREK) EmptyDim 13 Oct - 12:02

tu la regardes quelques instants. au fond de toi, t'es incrédule, en surface, tu es serein. rien ni personne ne peut briser ton indifférence naturelle face à quelqu'un. Rebeca. tu sais qu'elle se donne une image. tu sais qu'elle a envie d'une seule chose, c'est de goûter à ton corps. ses iris trahissent son jeu d'actrice. c'est mignon. elle veut simplement te faire baver. elle y arrive en même temps. regarde toi, ton pote au sud est bientôt au garde-à-vous. tu n'as qu'à imaginer tout ce que tu lui feras en fin de soirée pour devenir aussi raide que Catherine Deneuve. un sourire malicieux apparait sur son visage, on dirait une petite fille, espiègle et insatisfaite. elle passe ses bras autour de ton cou et t'enlace. son corps se colle contre toi. tu ne pensais pas que ça allait être aussi simple, tu n'as pas envie que ce soit aussi simple à vrai dire. ton nez fouille ses cheveux qui sentent l'amande et le tabac. d'une main tu tiens ton verre, de l'autre une fesse de sa paire. t'es bien là. presque le cosmo. tu dois penser à des choses horribles comme la faim dans le monde, ton père ou le sida pour ne pas qu'elle se rende compte que tu la désires au possible. vous dansez au ralenti, un peu culcul, un peu gnangnan parce que c'est de la deep house qui berce le club. tu sais que vous êtes parfaits, tu sais que c'est le rêve de toutes les gamines d'être à la place de Rebeca et de tous les enfants terribles d'être à ta place. vous vous méritez pour des raisons personnelles. tu sais aussi que ça va jaser, que les gens vont faire "oh mais c'est un vrai fdp avec Mack celui-là, encore une autre. elle est vraiment débile elle aussi." mais tu sais aussi que Mack n'en saura rien, elle n'en saura rien parce que cette meuf fait partie d'un monde à part, tu as celé une cage dorée insonorisée autour d'elle, tu lui as inventé un amour qui n'existait pas, une relation parfaite, dans un monde parfait, tu sais pas pourquoi, il y a l'image, mais y'a surtout le fait que tu te fasses foutrement chier dans ta vie. tu sais que personne n'ira lui dire que tu chafouines avec des filles tous les weekends parce qu'avec ton nom, avec Derek Palmer, tu as réussi à établir un contrat de confiance, tu sais que Derek ça fait peur, Palmer ça fait frémir. personne ne voudrait à avoir à affronter ta colère, on te connait ici, on sait de quoi t'es capable. on se souvient de la soirée chez les Di Madino quand Nick Davon avait joué au chaud avec toi et qu'il avait fini le visage tuméfié, méconnaissable, le nez cassé, des côtes fêlées et une dignité froissée.
vous dansez pendant de longues minutes, des minutes qui t'ont parues être des secondes jusqu'à ce qu'elle s'arrache de ton étreinte, qu'elle décolle son corps parfait comprimé dans sa robe elle aussi parfaite de petite pétasse parfaite. elle te dévisage quelques secondes avant de disparaitre dans la foule. tu la cherches du regard. Rebeca est assise à une table. tu pourrais parier la fortune Palmer qu'elle ne connait pas les gens à qui elle appartient. tu vides ton whisky d'un trait, lui hausses les sourcils et t'enfuis. t'as envie de jouer. elle pensait trop te mener à la baguette, elle a trop cru, trop réfléchi. on ne peut pas dépasser la maître, c'est toi qui as inventé ce jeu, c'est toi qui a imposé les règles avant même de savoir qu'il allait exister. tu rejoins la table que tu avais quitté quelques temps auparavant. Jordane est encore plus épave que quand tu l'as quitté. il est debout à côté de Stacy et lui caresse les épaules, on dirait un archéologue, il te fait honte et cette connasse ne bouge même pas, elle devrait être effrayée. tu t'assoies à côté de Louisa et tu t'arranges pour être le plus proche possible d'elle, tu poses une main sur sa cuisse, tellement proche de son entre-jambe. tu sais que Rebeca va rappliquer d'une seconde à l'autre.
le temps passe, les minutes se font interminables, tellement longues et pathétiques à devoir supporter les discussions stériles de Louisa qui n'a jamais appris à parler d'autre chose que de sa propre personne, ça te fait chier, elle ne t'intéresse pas et puis elle pue de la gueule. elle t'ennuie tellement que tu soignes son discours de rasades de Pérignon. elle fout quoi Rebeca. tu pensais qu'elle allait débarquer, les joues rouges, énervée, encore une fois bafouée, lassée de se faire baiser la gueule à chaque fois, tu te serais approché d'elle, tu l'aurais calmée et vous vous seriez cassés. dans ta tête c'était ça le plan. un truc bien préparé qui était sensé marcher à la perfection pour avoir déjà fonctionné nombre de fois auparavant. tu en as assez. tu te lèves. tu coupes miss Pudubec au milieu d'une phrase et sans t'excuser, tu te barres. tu vagabondes dans le Mansion comme un loup, tu cherches ta proie, tu la traques, tu la veux. ça dure une vingtaine de minutes et tu te fais de plus en plus éclaté. tes idées sont loin d'être claires, mais Rebeca, le plan Rebeca apparait comme intact.
tu la pensais partie et tu la retrouves là, blottie dans les bras de Chris Hefner, un jeune coq de la basse-cour de Laguna, une nouvelle tête, un type qui n'y connait rien, un nouveau riche sans mérite apparent qui pense que la côte d'Azur est toujours en vogue et que pouvoir ramener David Guetta à l'une de ses soirées fera de lui quelqu'un de cool. tu t'approches d'eux et soulèves le gamin par la chemise avec une facilité déconcertante. elle est avec moi, tu dégages. pris d'un excès de confiance, il s'approche de toi faussement énervé. il est surtout vexé et honteux. tu colles ton front au sien. quoi? tu vas faire quoi? bouge avant que ça parte en couilles. brusquement, tu le pousses. il s'éloigne à quelques mètres. il te lances un regard mauvais et décampe, péteux.
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REBECA GREENE
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MessageSujet: Re: I HATE UR FUCKING FACE (DEREK)   I HATE UR FUCKING FACE (DEREK) EmptyDim 13 Oct - 13:30

À ton plus grand étonnement, il ne te suit pas. Tu le fusilles du regard alors qu’il s’éclipse dans la foule comme un voleur. Vexée, ton dos se raidit alors que tes yeux fouillent désespérément l’assemblée, en quête de sa silhouette. Tu fronces les sourcils, te relâche et t’affaisse un peu contre ton siège. Mais tu ne le suis pas, oh non. Tu vas rester là, le derche planté sur ce fauteuil en attendant qu’il revienne. Parce qu’évidemment qu’il va revenir. Il tiendra peut-être pas longtemps, alors que tu faisais monter la température entre vous deux tout à l’heure, il doit écumer. Tu attends sagement, et puis un mec que tu connais pas commence à te parler. Tu lui réponds vaguement, tes yeux scrutant toujours cette masse informe et dansante. T’es où Derek ? Sors de ton trou bordel. Le gars se présente mais tu ne l’écoute pas. Tu daignes enfin de poser tes yeux sur son visage et tu dois admettre que bon, même s’il est lourd, il a quand même une belle gueule.
Il s’assoit à tes côtés, toi tu lui empruntes son verre afin d’y voler quelques gorgées. Tu frissonnes un peu. Les mains du type glissent de ton genou jusqu’à mi-cuisse, tu ne le repousses pas, lui souriant niaisement. Oh toi ça ne dérange pas, au contraire. Les mains douces et caressantes, tu dis pas non. Les mots doux et hypocrites qu’on te murmure à l’oreille sont les bienvenus, même les paroles le plus crues te font sourire. Tu t’en fous toi de prêter ton corps au premier passant, ça t’indiffère. T’es sans cesse en quête de chaleur, de souffle brûlant et bestial dans ton cou. Tu cherches la compagnie, tu veux marquer les esprits et attirer les foules sur toi. C’est pas de ta faute, c’est comme ça. Avant, t’osais moins faire ce genre de choses. Mais maintenant t’as compris, si on veut se faire un nom il faut se faire remarquer, alors c’est-ce que tu t’appliques à faire chaque jour de ta vie. Le mec te prends dans ses bras et toi tu te laisses aller dans son étreinte, sans rien dire, ou plutôt si, tu laisses échapper un hoquet de temps en temps.
Tes paupières à moitié fermées et ta vision trouble discernent une ombre agitée s’approcher de vous. T’as même pas le temps de réagir que t’es assise seule, hébétée et bête. Derek est de retour il tient l’autre gars par la chemise, ses pieds frôlent à peine le sol. ‘Elle est avec moi, tu dégages.’ Tu ne peux réprimer un sourire. Oui, tu te sens comme la chose de Derek et ça te plaît. Juste parce que tu te sens mise en valeur, quelque part. tu ne veux surtout pas être dans l’ombre, toi il te faut les projecteur en pleine face, à chaque seconde de ton existence. Le gars est repoussé quelques mètres plus loin, et ça n’est pas passé inaperçu puisqu’il y a encore des regards posés sur votre petite assemblée. Toi tu te relèves sur tes jambes qui te paraissent trop grandes, tu te sens comme sur des échasses, incertaine de pouvoir tenir debout. Ta main se pose sur le bras de Derek et tu la fais glisser dessus. Finalement t’as pas très envie de le voir en colère. ‘Alors, tu voulais t’échapper ou  quoi ?’ Tes yeux éclatés et ta mine fatiguée oscillent dans la lumière tamisée du Mansion. ‘J’ai failli être triste de ne pas te voir revenir...’ Tu affiches une moue boudeuse, pour avoir l’air mignonne, mais ton air ineffaçable de peste reprends le dessus presque aussitôt. ‘Allez, viens, on va se poser plus loin.’ T’as l’air un peu enthousiaste, euphorique. Tu sais pas si il répond parce que tu t’enfonces dans la foule, t’essaies de le semer dans cette débandade de corps en mouvement. Tu sais pas ce que tu veux, ce que tu fais, tu trébuches plusieurs fois et te rattrapes sur des bras et des épaules que tu ne connais pas. Tu aperçois ton reflet dans une fenêtre et tes cheveux un peu en bataille te donnent un air pathétique. Tu passe la main dedans pour les discipliner. Puis, tu ne sais pas comment, tu sens l’air frais qui te colle, comme une seconde peau. T’es assise par terre, la tête te tourne. Tu te demandes où est Derek, s’il est à côté de toi ou encore à l’intérieur. Tu te surprends à rire amèrement. Tu es sûre que tu vas finir encore contre lui ce soir, il aura profité de toi et toi tu l’aurais laissé faire, consumée par le désir.
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DEREK PALMER
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MessageSujet: Re: I HATE UR FUCKING FACE (DEREK)   I HATE UR FUCKING FACE (DEREK) EmptyDim 13 Oct - 14:03

elle te parle. elle est saoule. beaucoup plus que toi. en temps normal, ça te dégoute, les filles ivres qui ne tiennent plus debout, qui écartent les cuisses au premier baiser dans le cou (elles te dégoutent mais paradoxalement tu profites bien d'elles) mais Rebeca c'est différent. c'est une sorte de petite chose que tu as vu grandir et qu'importe l'état, elle reste l'âne vêtu de la peau du lion, une apparence et une réalité. tu l'as fait souffrir, c'est vrai. c'est tout à fait vrai. mais vous avez grandi et tu te dis, que peu importe ce qu'il se passe ce soir, ça se passe entre adultes consentants, on est plus dans la cours du lycée, on est plus dans gossip girl ou dans n'importe quelle série tout aussi pathétique, on est dans la réalité et le contact physique, il a jamais fait de mal à personne. hein. elle te dit qu'elle veut s'en aller, partir ou s'éloigner, tu ne sais pas, tu sais seulement qu'elle ne veut pas rester ici. elle s'en va et elle disparait de ta vue. on dirait Mary Ingalls qui gambade dans une prairie. tu la suis, enfin tu penses la suivre, tu la cherches, pendant une dizaine de minutes. au fil de ces dernières ton désir monte, il monte, en flèche, un désir ardent, qui fait bouillir ton bas-ventre et scintiller tes prunelles. t'as l'impression d'être un fauve en pleine battue. et puis tu la retrouves là, à terre, ses grandes jambes étalées sur le parquet de la terrasse. tu soupires. elle est plus saoule que tu ne le pensais et ça commence salement à compromettre tes plans avec cette jolie luciole que t'espères voir décuver au plus vite. des regards narquois sont braqués vers elle et on entend des "non mais regarde la. pa-thé-ti-que" tu ignores les remarques. t'as envie de tous les monter en l'air, tu supportes pas être un animal de cirque. tu t'approches d'elle et la soulèves par les épaules, tu glisses ton bras autour de sa taille. Rebeca... vous traversez le club. à l'entrée, sous les regards inquisiteurs des videurs, tu fais un signe que tout va bien. la discrétion qu'on te connait commence un peu à s'effriter. quand tu comptes t'envoler avec une fille en fin de soirée, tu t'arranges toujours pour que vous ne sortiez pas en même temps. question.. d'éthique. tu donnes ton ticket au voiturier qui ramène la GranTurismo ronronnante devant vous. Rebeca baragouine. tu la glisses sur le siège passager. tu n'es pas en état de prendre la route et pourtant te voilà au volant de ton étalon italien. en temps normal, vu l'état dans lequel elle est, t'aurais demandé à Rebeca de te sucer pendant que tu roules, mais encore une fois c'est Rebeca, puis... elle mérite un peu mieux cette fille. tu l'as déjà assez salie comme ça. ça va petite dose? les paysages défilent à une vitesse impressionnante, les palmiers deviennent des forêts, les maisons deviennent mitoyennes, attention.
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REBECA GREENE
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MessageSujet: Re: I HATE UR FUCKING FACE (DEREK)   I HATE UR FUCKING FACE (DEREK) EmptyLun 14 Oct - 15:08

Ça pulse là-dedans, dans ton crâne. Et peu à peu tu prends conscience que les regards sont sur toi, inquisiteurs, vilains. T’aimerais disparaître, pour le coup. Mais non t’es incapable de bouger et puis le sol qui tangue sur tes pieds ne t’aide absolument pas. Tu entends ton prénom qui perce dans les bruits puissants de la musique, ceux qui écorchent tes tympans. Tu te sens fatiguée. Mais des bras t’enserrent et te remontent les pieds sur terre. Ta face d’idiote se tourne vers lui, il a l’air tellement indifférent. Il te traîne au milieu de tous ces gens. C’est un peu flou, le temps passe vite et rapidement à la fois et puis tu te retrouves dans une voiture, Derek est au volant, tu sais pas pourquoi, comment. Ce soir tu sais rien et ça te tord l’estomac de pas maîtriser ce qu’il se passe. Toi l’habituée, celle qui tient les rênes de tout, ce soir c’est pas ton soir, tout simplement. Ça doit être à cause de Derek, ça devait forcément se passer mal puisqu’il est là. Il te pose une question et toi tu réponds pas, t’as le front collé à la vitre froide, les paysages tournent si vite que t’as envie de dégueuler. Mais par respect pour lui tu vas te contenir. Puis tu remarques le changement à l’extérieur. Des forêts autour de vous, le calme, le silence. Tu frissonnes, tu trouves ça étrange de te trouver dans un endroit comme ça, avec lui. ‘Est-ce qu’on peut s’arrêter ?’ Tu lui demandes finalement, et vous êtes sur le bord de la route. Tu pousses un long soupir. Le nœud dans ton estomac fragile s’est dissipé, tu respires comme il faut. Le coup qu’a pris ta fierté et ton image ce soir te fout un coup au moral, t’as presque envie de pleurer, tes yeux piquent. Tu renifles, pauvre gamine que tu es. Tu ouvres la porte et tu sors de la voiture. Le froid t’enserre dans son étau. Ça te fait du bien de t’aérer la tête, là. Et puis tu sais qu’il peut pas t’arriver grand-chose parce que Derek est pas loin. Et même si tu lui fais pas trop confiance et qu’il t’énerve et que tu l’estimes comme une enflure, t’es pas toute seule. Et rien que pour ça t’as un peu de reconnaissance envers lui. Tu te baisses pour défaire tes chaussures, et tu les laisses là au bord de la route, avec ta fierté insolente que t’as balancé là par terre, aussi. T’es terriblement pathétique, pas crédible. Les arbres sont devant vous, immenses et imposants. ‘On va se promener, viens.’ Tu dis finalement. Tu tires sur ta robe, une nouvelle fois. Tu ressens de plus en plus le froid et t’as la chair de poule. Tes pieds nus foulent le sol, tu ne vois rien autour de toi, juste la forme vague des géants. Tu sais pas ce qu’il va se passer dans cette forêt mais tu t’en fous. Tu t’en fous si ce soir vous vous envoyez en l’air avec Derek, tu t’en fous de savoir que demain tu seras en train de pleurer des litres de larmes en pensant à ton comportement ridicule, tu t’en fous de savoir ce que les autres penseront. Tu t’en fous de savoir que t’es une gamine vulgaire et rien de plus qui sait pas faire grand-chose à part baisser sa culotte. Tu te retournes vers Derek, l’air complètement paumé. ’J’suis pas bien…’ Tu veux lui demander si lui, il va bien, mais non, tu t’en fous. Tu sais même pas si t’as envie de continuer ce jeu débile qui vous anime ou si tu veux te laisser aller, là, dans le froid de la nuit. Tu sais pas, Rebeca. Tu sais rien. Tu t’approches finalement de lui, et tu l’enlaces, sur la pointe des pieds. Tes mains glissent sous son tee-shirt pour offrir des caresses à ce dos dont tu n’as pas oublié la forme. Tes dents viennent mordiller son lobe et tes lèvres se posent dans son cou. Tu continues ton manège, tu espères qu’il te repoussera, qu’il jugera que t’es pas en état. Mais toi tu persistes et tes mains s’accaparent de ce torse et tes lèvres de ce visage.
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DEREK PALMER
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MessageSujet: Re: I HATE UR FUCKING FACE (DEREK)   I HATE UR FUCKING FACE (DEREK) EmptyLun 14 Oct - 21:03

sa tête vacille à côté de toi, son menton touche sa poitrine, elle te fait de la peine cette petite chose. tes rêves de la serrer ce soir s'éloignent de plus en plus. tu roules à 180km sur des routes bancales et si t'avais pas une parfaite maitrise du bolide vous seriez déjà dans le fossé. elle te demande de t'arrêter ce que tu fais immédiatement parce que tu veux pas qu'elle tapisse le cuir de ta caisse, tu penses que tu lui ferais bouffer. elle sort de la voiture prend l'air quelques instants. on se croirait dans une mauvaise série B, du genre Piper et Kevin sur les routes de Madison, c'est n'imp. devant vous se profile un petit sentier dans une petite forêt de pins. elle vacille quelques instants et te demande d'aller te promener avec elle. te promener avec elle. si t'avais su ce soir, quand t'as enfilé ta petite chemise Ralph Lauren blanche que t'allais te "promener" avec Rebeca Greene dans une forêt de Lagunita... vous commencez à marcher, ton bras autour de son épaule, un bras plus protecteur que séducteur. puis elle s'arrête. j'suis pas bien. tu n'as même pas le temps de demander ce qu'elle a qu'elle s'approche un peu plus de toi et commence à t'enlacer, ses mains gelées glissent dans ton dos et te font tressaillir, sa bouche vagabonde dans ton cou, ses ongles frôlent ton torse, elle commence à te mordre les lèvres. au fond de toi, une victoire. tu enserres ton bras sa petite taille et lui offre un baiser digne des plus grands, une version des Liaisons Dangereuses 2.0. les haleines alcoolisées et les esprits euphoriques en plus. tu l'embrasses, tu lui donnes tout ce que tu peux dans ce baiser qui au final n'est rien. la petite Rebeca, encore une fois à ta merci, encore une fois plongée dans tes filets, pauvre chose délaissée, petite fille triste et perdue. et toi grand despote respect et craint. mmmhh...
tes paupières fermées par la passion s'ouvrent brusquement et tu te rends compte de la situation. tu peux pas faire ça. pas une nouvelle fois. tu la repousses doucement. elle pense à une feinte et se rejette sur toi avant de se faire écarter une nouvelle fois. allez viens, tu es saoule. tu regretteras demain. elle ne dit rien. tu ne sais pas ce qu'elle pense. tu ne veux pas savoir de toute façon. t'es un peu trop dépassé avec tout ce qui se passe dans ta vie en ce moment. tu repasses ton bras autour de son épaule et vous continuez sur le petit sentier qui mène à une petite crique discrète. elle te suit toujours en silence. on dirait la mort avec toi. viens on s'assoit là. vous vous installez sur le sable frais, sous cette lune sévère, saouls, jeunes et beaux. sa tête se couche sur ton épaule et son bras vient encercler ton buste. ce genre de scène qu'on aurait jamais cru voir un jour.
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